Raider

De WikiRoca
Revisión del 07:27 21 feb 2007 de imported>Darzee (→‎La Rama Raider)

Los Raiders fueron una innovación pedagógica de los Scouts de Francia lanzada en 1947 por el entonces comisario nacional de la rama scout, Michel Menu para los adolescentes que ya no tenían sitio en las Tropas.

Historia

Al finalizar la Segunda Guerra Mundial, Michel Menu era un joven oficial de la Resistencia que tomó el cargo de comisario nacional de la rama scout. Lo primero que hizo fue pedir algo de tiempo para poder evaluar en que estado se encontraba el movimiento. Así, visitó numerosas tropas y se dió cuenta de una triste realidad: el escultismo estaba tocado. Los responsables tenían poca o ninguna formación por lo que los jóvenes recibían un educación scout incompleta. Además la metodología scout de antes de la guerra con su distinción de "Caballeros de Francia" o su tradición de la totem ha envejecido prematuramente y no es bien aceptado por la juventud francesa. Una juventud que ha vivido una guerra mundial y que ha descubierto la modernidad a través de las tropas americanas estacionadas allí no quiere vivir el pasado sino el futuro. Los mayores de las tropas, de entre 15 t 17 años de edad son muy pocos en el movimiento, la mayoría lo deja antes. Michel Menu lanza entonces su propuesta inspirándose en los eagle-scouts de la Boy Scouts of America.

La Rama Raider

La proposition raider consiste donc à élever le niveau de la troupe sur tous les points en s’appuyant beaucoup sur les aînés. Les troupes " Raiders-Scouts " se doivent d'améliorer sans cesse leur technique et de rester bons en tout y compris dans l'excellence religieuse et dans l'approfondissement de la foi. Chez les Raiders, les exploits et l'excellent niveau technique ne doit pas être un but, mais seulement un moyen. Il ne peut y avoir de troupe raider sans scout raider et vice-versa.

  • Pour qu’une troupe obtienne la qualification raider, elle doit :
    • exister depuis deux ou trois ans
    • avoir, dans toutes ses patrouilles deux scouts de 2ème classe et deux autres de 1ère classes (au lancement des raiders, on estimait à 150 le nombres de scouts de 1ère classe sur toute la France, c’est dire si l’objectif était ambitieux). Tous les scouts de la patrouille doivent progresser individuellement en obtenant un certains nombres de badges ou brevets fixés dans leur programme.
    • se constituer une « base » de haute tenue
    • avoir un chef stable formé à Chamarande.
    • avoir un aumônier effectif.
  • Pour qu’un scout soit investi raider, il doit :
    • être membre d'une troupe raider
    • posséder sa première classe
    • obtenir trois brevets raider : woodcrafts, missionnaire et, au choix sauveteur, sportif, conducteur-mécanicien (puis Michel Menu suggère dans son ouvrage « raiders pour l’an 2000 » de le remplacer par communication), liaison ou forestier (par la suite, d’autres brevets seront créés et le parcours pourra être diversifié).

Les programmes pour l’obtention des qualifications raider étaient rédigés par les candidats, approuvé par le QG (quartier général), la cour d’honneur décidait si les objectifs avaient été atteints.

Alors les scouts de premières classes été investis raiders (Cérémonial d’investiture raider-scout), ils portaient sur la poitrine, à droite au dessus de la poche, l’insigne raider : une croix en métal argenté et numérotée, potencée dans une bouée de sauvetage portée par deux ailes. Les 1ères classes de la troupe, sur décision de la cour d'honneur, pouvaient porter le béret vert à deux rubans, de type commando. Toute la troupe portait sur le haut de la manche gauche la bande "raider scout" au numéro de la troupe, brodé en rouge.

Evaluación de la rama

Les raiders connurent un grand succès, environ 10 % des 50 000 éclaireurs étaient membres d’une troupe raider en 1956 et plus de 410 troupes investies au final, la qualité du scoutisme pratiqué dans l’ensemble du mouvement s’en ressentit, l’objectif de retenir les aînés était atteint. Le lancement des patrouilles libres (les foulards noirs) et de la campagne cadres verts dans la lignée furent aussi couronnés de succès.
Malgré cela, l’aventure raider reste sujette à polémique.
Si Michel Menu disait que la proposition était à la portée « de toute les bonnes volontés », elle n’en demeurait pas moins exigeante autant de la part des chefs que des scouts, peu de troupes purent y adhérer. Peu d’aide était offerte, la création, en 1954, de la division Kim, première marche d’amélioration pour l’accession au raiderisme, ne permit pas de combler le fossé qui se creusait entre raiders et non-raiders. L’incapacité de la proposition raider à se généraliser fut une des causes de son arrêt.
Par ailleurs, les raiders furent souvent donnés en exemple, glorifiés. Plus encore que dans les déclarations de Menu, la littérature apologétique comme la collection « rubans noirs », du signe de piste, n’hésitait pas à opposer le scoutisme traditionnel plan-plan, fade au scoutisme modernisé et dynamique des raiders. Une telle opposition, si elle passait par le dénigrement, ne pouvait qu’encourager la jalousie.
Enfin, le modèle du commando était-il acceptable pour les scouts de France ? L’image du parachutiste n’était pas exempte de défauts, et si elle était très bonne à la sortie de la seconde guerre mondiale, elle allait beaucoup souffrir de la guerre d’Algérie.

Au-delà de l’aventure formidable qu’elle a été pour des milliers de garçons, la proposition raider mena à une impasse. En 1964, le lancement des pionniers de François Lebouteux avait pour but, entre autres, de donner le dynamisme des raiders à l’ensemble du mouvement, ce qu’il ne réussit pas. C’est à ce moment que le raiderisme fut abandonné.

Los Raider vistos hoy

La FSE propose actuellement un programme raider se réclamant abondamment du programme de Michel Menu (voir Raiderisme FSE).
D’autres initiatives plus marginales se réclament du raiderisme.

Bibliografías

Artículos relacionados

Enlaces externos