Canónigo Cornette

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Algunos consideraron al Canónigo Antoine-Louis Cornette como el fundador de los Scouts de France por su extenso trabajo para la creación y formación de este movimiento de escultismo católico. También debido a que el que hoy se considera verdadero fundador de los SdF, el Padre Sevin era jesuita y sus superiores no querían que se asociara al joven movimiento con su orden.

Así el Canónigo Cornette puede ser considerado como el primer responsable de esta asociación de escultismo confesional mientras que el Padre Sevin fue el ideólogo y fundador. Gran colaborador de Sevin, fue la persona que hacía factible las ideas del fundador.


Infancia y estudios

Antoine-Louis Cornette nació el 8 de noviembre de 1860 en Pierrefire sur Loire. Empezó sus estudios a la edad de seis años en las Escuelas Cristianas y después continuó en el Seminario de Rimont en 1874 y en el Seminario de Autun en 1880. Pero el clima le juega una mala pasada y debe regresar a su pueblo natal donde permanecerá un año en reposo antes de continuar sus estudios clericales en París. Es ordenado sacerdote el 17 de Diciembre de 1887.

Su inicio en el escultismo

Sus superiores lo nombran censor en el Colegio de Juvilly, allí sufre un envenenamiento por la laca contenida en las paredes de su habitación que le provocará una parálisis de ambos brazos. Es enviado al balneario suizo de Saint Moritz, uno de los lugares de esparcimiento más elegante de la época donde entablará amistad con varias personalidades como la princesa Charlotte de Mónaco. En 1895 funda la Mission Catholique en Haute Engadine donde conserva buenas amistades y grandes patrocinadores. En 1902 funda la Reunión d'Eylau para la formación religiosa de los estudiantes, sostenido entre otros por el escritor Georges Goyau, el cartógrafo Jean Brunhes, o el decano de la facultad de ciencias de Friburgo. Durante la Primera Guerra Mundial es consiliario de hospital.

En 1916 recibe la visita de un joven de 15 años, Paul Coze que regresa de Egipto donde ha descubierto y practicado el Escultismo de Baden-Powell. El joven Coze convence al canónigo que funda los Entrenadores, una adaptación del movimiento a las formas de la juventud francesa. Una juventud que vive acomodada en las mismas actividades de gimnasia, deportes y fanfarrias que es lo que ofrecen los centros educativos de la época. El escultismo presenta una alternativa muy distinta: la aventura, el contacto con la naturaleza, la formación del carácter, la integración en una comunidad, el compromiso a través de una Ley y una Promesa...

Escultismo católico

Le premier groupe, issu de la Réunion d'Eylau, est donc recruté dans le milieu lycéen et s'appelle "les Entraîneurs d'Honoré d'Eylau". En 1918, les Entraîneurs comptent 8 patrouilles. C'est à la même époque que d'autres initiateurs du scoutisme parisiens se rencontrent et coordonnent leurs efforts: les Abbés Ciallet et de Grangeneuve, tous deux anciens du Sillon et soucieux de fonder le scoutisme en milieu populaire. Dans le même temps un Père Jésuite, le Père Sevin, né à Lille en 1882, prêtre en 1914, a suivi aussi la naissance du scoutisme en Angleterre. Préparant sa licence d'anglais, il prit contact avec le scoutisme britannique et rencontra Baden-Powell en 1913. Pendant la guerre le Père Sevin est bloqué en Belgique où il met au point la technique du scoutisme. Après les hostilités il revient à Lille, fonde une troupe et crée l'Association des Scouts de France. Il rencontre le scoutisme parisien et l'Abbé Cornette en 1919. En 1920, le 25 Juillet, naît officiellement la Fédération des Scouts de France, avec comme président le Général Maud'huy. En 1921 le 17 Janvier, le comité des Scouts de France est appelé à l'Archevêché de Paris, où Mgr Dubois vient de succéder au Cardinal Amette, décédé en 1920, et qui avait condamné le scoutisme. Mgr Dubois lit lentement un document-réquisitoire où le scoutisme est chargé de tous les crimes et contre qui on requérait les censures et les foudres de l'Église. - "C'est anonyme, dit l'archevêque! Que dois-je faire?" - "Ce que l'Esprit-Saint vous dictera" répond le Chanoine Cornette. - "Eh bien voici ce qu'il me dicte". Et le Cardinal tire un second document: "Ce m'est une joie et une espérance ... Le but des Scouts de France est de faire revire l'idéal si chrétien et si français de la chevalerie. J'applaudis d'avance et je bénis".(cf. Paul Doncoeur : la Reconstruction spirituelle du pays : les Scouts de France"). La Consécration définitive viendra du Pape Pie XI en Janvier 1925.

A la suite de l'approbation du Cardinal Dubois, Archevêque de Paris, plusieurs évêques suivent malgré les hésitations, les critiques, et parfois les barrages systématiques de certains autres. En grand voyageur, le Chanoine Cornette visitera les uns et les autres et tentera de les convaincre par son talent diplomatique. De plus, il utilisera ses nombreuses relations pour soutenir financièrement le scoutisme. c'est ainsi qu'il obtient que le domaine de Chamarande soit prêté aux Scouts de France dès 1922. Chamarande deviendra le lieu privilégié des camps-écoles de la formation des chefs, et des grandes rencontres du mouvement. Le premier camp national y a lieu en 1922. En 1932, les Schneider mettent également à la disposition du scoutisme leur propriété du Breuil: désormais ce lieu devient synonyme de camp de formation: "nous avons fait un Breuil en telle année. (NdZ: des scouts peuvent-ils confirmer cette information ?). Le Chanoine Cornette y vint souvent. En 1927 le gouvernement Français reconnaît les Scouts de France "d'utilité publique" et décerne à son fondateur la Croix de la Légion d'Honneur, en 1930. Il parcourut l'Europe pour faire connaître le vrai visage de la France et répandre partout l'idéal et les méthodes scoutes. Il a publié "l'éducation morale par le scoutisme catholique" en 1921, "Scoutisme et recrutement sacerdotal" en 1932 et de nombreux articles dans la revue "Le Chef" et dans le bulletin des aumôniers de la Fédération.

Los últimos días

En 1932 se tient le premier Congrès de la Route, considérée par le Chanoine Cornette comme "la Jeunesse de l'Église.

Il est mort le 19 Septembre 1936, et c'est le Père Forestier qui lui succède jusqu'en 1951 comme aumônier National. Le Père Doncoeur - de grande renommée - est d'abord aumônier de la branche aînée - qui deviendra la Route en 1926. (NdZ: cette date me paraît douteuse). A sa mort, le Chanoine Cornette laisse le scoutisme catholique sur une courbe en forte progression: 24 000 en 1930, 30 000 en 1933, 55 500 en 1937, 64 000 en 1939 ...

Le "vieux loup" décède en 1936.